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Le 18 janvier 1802, après un peu plus de douze années d’absence, Vigée Le Brun fut fêtée à Paris par son époux, son frère Étienne, sa belle-sœur et leur fille.
Le soir même, un concert était donné en son honneur dans la maison de son mari, rue de Cléry. La citoyenne Tallien assistait à l’événement. Peu après, la portraitiste fréquentait Laure Regnauld de Saint-Jean-d’Angely et voyait Joséphine Bonaparte.
Très vite, elle retrouva aussi certains de ceux qui avaient constitué son cercle avant 1789 ; Greuze, Hubert Robert, Brongniart et Ménageot comptaient au nombre des fidèles. Si l’artiste plaça son pinceau au service de la société du Consulat et de l’Empire, elle ne cessa pas pour autant de portraiturer l’aristocratie européenne. Les années 1803, 1804 et 1805 furent ainsi marquées par un long voyage en Angleterre.
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