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Toutes deux portraitistes, toutes deux reçues à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1783, Élisabeth Louise Vigée Le Brun et Adélaïde Labille-Guiard furent mises en concurrence par la critique et par le public dès lors qu’elles exposèrent leurs œuvres aux Salons...
Avec les années, les deux rivales s’acheminèrent vers la perfection. On loua Vigée Le Brun pour la beauté de sa technique et de ses innovations chromatiques et le caractère vivant de ses compositions (poses, costumes, accessoires, décors). Quelques commentateurs attribuèrent à Labille-Guiard un pinceau moins flatteur, louant un style plus vigoureux et réaliste, la justesse dans les ressemblances, ainsi que des compositions plus sagement agencées, des tons plus vrais et plus harmonieux.
L’année 1789 sépara les deux artistes. L’une, en émigrant, diffusa sa conception du portrait en Europe et jusqu’en Russie. L’autre, en demeurant à Paris, mit son talent au service des élites de la Révolution.
En outre, toutes deux formèrent à l’art de la peinture et du dessin de nombreuses élèves dans les années qui précédèrent la Révolution. Elles aidèrent à promouvoir la peinture au féminin et permirent ainsi à d’autres jeunes femmes de faire carrière.
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Voir le contenu : Élisabeth Louise Vigée Le Brun : le retour en France
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Le 18 janvier 1802, après un peu plus de douze années d’absence, Vigée Le Brun fut fêtée à Paris par son époux, son frère Étienne, sa belle-sœur et leur fille.
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