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Irving Penn réalise son rêve de photographier des hommes et des femmes à travers le monde quand il part en Afrique et en Asie-Pacifique entre 1967 et 1971.
En mai 1970, Penn et son équipe se rendent à Goroka, en Nouvelle Guinée. Ils font une première étape dans le village tribal de Bena pour voir les indigènes et notamment leurs bilas (ornements corporels traditionnels), composés de coquillages, de plumes colorées, de décors en fourrure, de dents de chien ou de graines. Indicateurs d’une position sociale, les coquillages sont des biens précieux utilisés comme moyen de paiement pour acheter un cochon ou payer une dot. Pour montrer tout ce qu’on lui doit, un big man arbore sur sa poitrine un omak (lamelles de bambou, comme dans ce portrait).
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Voir le contenu : Irving Penn et ses photographies publicitaires : le statut d'artiste avant-tout !
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Dans une photographie prise pour une publicité L’Oréal, Penn étale, à la manière d’un peintre, des couleurs sur la bouche d’un mannequin, sans montrer le produit tel qu’il est vendu en boutique, révolutionnant ainsi le monde de la publicité.
Voir le contenu : Les natures mortes tardives d’Irving Penn : quand les détritus deviennent de l’art
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Comme le chiffonnier de Baudelaire qui trie les déchets rejetés par la ville, Irving Penn voit de la poésie dans les détritus : pris au sens large, ils constituent des témoignages indirects de l’état du monde.
Voir le contenu : Trois questions autour de l'exposition Irving Penn
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Avant de vous plonger dans l’univers d’Irving Penn au Grand Palais jusqu'au 29 janvier 2018, nous avons posé trois questions à Jérôme Neutres, l’un des commissaires de l’expo !