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Si vous rêvez d’arpenter les rues de cette ville mythique comme le faisait Irving Penn, à la découverte de ses habitants, de ses vitrines et de ses buildings... Participez du 13 au 23 décembre 2017 à notre tirage au sort pour partir 4 jours à New York !
" Le week-end, j’errais dans les rues de New York en prenant des photos comme on prend des notes, plus pour me souvenir de ce que j’avais vu que dans un but sérieux. Il est arrivé que ces images sans prétention paraissent dans Bazaar, comme illustrations." — Irving Penn, 1991*
Les premières photographies connues de Penn sont des études très simples de vitrines du XIXe siècle, de publicités écrites à la main, de panneaux et d’annonces à New York notamment. Elles témoignent de son attachement à la ville et du style documentaire de l’époque que l’on trouve également dans le travail du photographe Walker Evans, une des premières sources d’inspiration d’Irving Penn.
L’influence d’Evans est apparente notamment dans Ta Tooin (The Bowery) : dans ce mélange captivant de mots et d’images fragmentées, Penn se concentre sur l’enseigne d’une officine de tatouage, qui propose également d’estomper les yeux au beurre noir, fréquents chez les ouvriers journaliers belliqueux qui fréquentent les bars près des docks de la ville.
À l’époque, les patrons engageaient leurs ouvriers en partie sur la base de leur capacité ou non à créer des problèmes et provoquer des bagarres. Pour soigner un oeil au beurre noir, les tatoueurs (et les barbiers) appliquaient des sangsues qui suçaient le sang autour de l’oeil, puis des poudres cosmétiques pour couvrir l’hématome. A l’instar de la photographie, c’était à la fois une science et un art.
Et vous, quelle est la première photo que vous prendriez en arrivant à New York ?
Si vous rêvez d’arpenter les rues de cette étonnante capitale culturelle à la découverte de ses vitrines, habitants, tatoueurs et buildings et de tout ce qui donne son charme à cette ville mythique…
* Irving Penn, Passage: A Work Record, avec la collaboration d’Alexandra Arrowsmith et Nicola Majocchi, New York, Knopf, 1991, p. 10.
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