Mercredi 11 janvier à 18h30
PROJECTION
Frida
Film de Julie Taymor, 2002, avec Salma Hayek, Alfred Molina et Geoffrey Rush, 2h
La vie passionnée de Frida Kahlo, femme libre et artiste mexicaine majeure de la première moitié du XX
e siècle… En s’attachant au destin exceptionnel de Frida Kahlo et à ses relations tumultueuses avec son mari, le peintre Diego Rivera, le film donne aussi à voir l’effervescence de la vie politique et artistique du Mexique pendant les années 20 et 30.
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Ne manquez pas également les 3 dernières projections des documentaires autour d'Hergé, à l'auditorium du Grand Palais (entrée gratuite)
Jeudi 12 janvier à 11h30
PROJECTION
Hergé à l’ombre de Tintin
de Hugues Nancy, 2016,1h21
Raconter « Hergé à l’ombre de Tintin », c’est raconter l’histoire d’un créateur de génie et de sa créature qui a fini par devenir bien plus célèbre que le dessinateur qui l’avait inventée. Par une immersion dans l’œuvre d’Hergé, dans l’univers de Tintin et par une déconstruction du processus créatif de Georges Remi, le documentaire montre cet artiste à l’œuvre sous un nouveau jour.
Vendredi 13 janvier à 12h
PROJECTION
Hergé, Tintin à la campagne
de Nathalie Plicot, 2014, 26’
En 1949, le Belge Georges Remi, plus connu sous le pseudonyme d'Hergé, achète une vieille ferme de type espagnol. Elle se situe à une demi-heure du centre de Bruxelles, à Céroux-Mousty, dans la région du Brabant wallon. Le dessinateur et scénariste des «Aventures de Tintin» la rénove et la baptise «La Ferrière». Durant son séjour, il n'a de cesse de l'agrandir, de la réaménager et de l'embellir. C'est dans ce refuge champêtre, avec son jardin de près de 5 hectares, qu'il vit avec Germaine Kieckens, sa première épouse, loin du tumulte bruxellois. En 1988, la rue de la Ferrière devient la rue Hergé.
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Vendredi 13 janvier à 13h30
PROJECTION
Tintin et moi
d’Anders Ostergaard, 2003, 1h14
La pierre angulaire du film est la conversation à bâtons rompus qu'Hergé a eue, pendant quelques jours de l’année 1971, avec Numa Sadoul alors étudiant. Lors de cette interview, Hergé expliqua comment les allusions et la psychologie sous-jacente de Tintin étaient intimement liées aux tensions de sa vie privée. Anders Ostergaard laisse la parole à l'artiste et réalise ainsi un superbe portrait intime à l'écran. Le film revient sur la carrière d'Hergé, mais surtout sur l'homme qu'il était, en mettant en image de nombreux extraits des bandes son originales des entretiens avec Numa Sadoul. La mise en scène, volontairement sobre, est accompagnée de diverses images d'archives et d'entretiens avec des spécialistes et amis d'Hergé.